Paradis Perdu – Pierre Andreotti

La photographie, vaste sujet ! Très délicat tout de même, un photographe qui ne pense pas à la peinture (cf. Cartier-Bresson)
serait un âne à mon humble avis. Quelques génies du photojournalisme l’ont dépassé, mais la photographie est un art traître
et délicat, passant de la pub lessive à la grandiloquence inutile d’un plat de nouilles froides.

Il est donc important de souligner la qualité de certains, comme Pierre Andreotti. Il n’est pas encore Nan Goldin (il lui manque
quelques kilos et le sexe adéquat), ni James Walls, ni Lorca di Corcia, mais j’aime beaucoup ses photos, même si je n’ai
toujours pas accepté de poser (un grand père photographe, ça traumatise fort jeune).